mardi 30 septembre 2008

Démagogie

On parle souvent de démagogie mais certains vont trop loin. Écoutez cet extrait humoristique d'un candidat du bloc.

lundi 29 septembre 2008

Dion a tout le monde en parle

J'ai eu la chance de regarder Stéphane Dion a tout le monde en parle ou plutôt je n'avais rien a faire et mon lavage était fait.

J'ai été étonné de l'entendre, pour une rare fois, il était crédible et sympathique. Pour une rare fois, il avait un certain charisme. Il fallait bien une première fois a tout.

Ce qui me dérange toutefois de sa prestation est son explication de sa taxe verte. Dire que sa taxe permettrait de taxer les compagnies polluantes et que cela aiderait les gens moins fortunés. Que sa taxe est nul. Quel croyance populaire et populiste de penser que sa taxe sera vraiment nul. Comme dans toutes les taxes, elle sera nul pour une partie de la population, un atout financier pour certains et des dépenses de plus pour d'autres.

Pourquoi, parce que ces réductions ne prennent pas en considération les gens qui ont des voitures. Donc, ceux qui n'ont pas de voiture recevront un beau chèque du gouvernement alors que le reste de la population paiera d'avantage.

Est-ce que sa taxe prend aussi en considération nos nombreuses régions où les déplacements en voiture sont plus fréquent. Bien sûr que non. Est-ce qu'elle prendra en considération les endroits où le transport est non fonctionnelle. Bien sûr que non. Les gens des grandes villes qui ont accès a d'autre mode de transport pourront en profiter grandement avec un chèque qui sera plus grand que l'augmentation des dépenses. Par contre les gens des régions qui ne pourront pas le faire seront pris avec une plus grosse facture. Le parti libéral et son chef Stéphane Dion font donc un choix stratégique, les grandes villes plus souvent libéral contre les régions plus bloquiste et conservatrice. Vive ce nouveau favoritisme.

samedi 27 septembre 2008

La culture

Voici maintenant la culture qui prend son envole dans notre campagne qui manque de gros dossiers. Est-ce que la pire chose que l'on reproche au gouvernement Harper sont les coupures dans la culture. Personnellement, si on me demande entre le financement des universités, la défense nationale, l'économie, les services sociaux, le transport en commun, les affaires étrangères et la culture, je sais où mon choix va aller et ce n'est pas dans la culture. C'est bien de faire des beaux vidéos pour dire aux gens comment on a de la difficulté mais leur politique de couper ailleurs est ridicule pour être gentil.

Tout le monde en veut plus pour lui-même, les artistes, maintenant maître dans l'art du "quétage" d'argent le démontre.

Que ces artistes aillent voir nos personnes malades et qu'ils leur demandent, qu'est-ce que vous voulez financer, la culture ou la santé. Qu'il aille voit les étudiants et qu'ils leur demande, entre l'éducation et la culture. Qu'il aille voir n'importe quel entrepreneur et leur demande entre le développement économique ou la culture. La réponse de tout c'est cas est que la culture n'est pas une priorité si l'on doit couper a quelques part d'autre.

Mais ces socialistes aveugles pensent que le gouvernement a toujours plus d'argent et que l'on ne peut couper dans un service aussi essentiel. Si l'on regarde la pyramide de maslow comme exemple, on trouve beaucoup de point avant d'arriver a ceux qui inclut l'art. Besoin physiologique, besoin de sécurité, besoin d'amour ou d'appartenance. Tous ces besoins passe bien en avant.

Quand on pense qu'il y a presque 1 millions de Québécois qui n'ont pas l'argent pour se nourrir, se loger et se vêtir, qu'elle est l'importance du financement de la culture.

Mais bien sûr, les artistes qui ont de l'argent vont en profiter pour le dénoncer, parlant selon eux au nom des citoyens et vont en même temps promouvoir leur nouvelle album, film, pièce. C'est drôle comment c'est toujours dans les galas, avec pleins d'auditoires que ces artistes font des sorties contre le financement. Ils vont aussi faire plein de spectacle gratuit pour aider les artistes. Pourquoi ne pas faire la même chose pour les citoyens, la population.

Ils ne le feront pas car ce qui importe pour eux a la fin, c'est de faire de l'argent et d'influencer de leur notoriété une campagne électorale.

vendredi 26 septembre 2008

Vidéo libéral sans Dion?

A quel point un leader manque de popularité pour faire des publicités sans mettre son visage nul part.

C'est la question que je me demande, est-ce que les libéraux ont hontes de Stéphane Dion ou est-ce que parce que leurs stratégistes trouvent que le visage de Dion fait perde des votes au parti.

Premièrement, même leurs acteurs semblent avoir de la difficulté a expliquer leur point de vue et sont hésitantes. Est-ce que c'est parce qu'ils font semblant d'être naturel ou parce que c'est difficile de dire leadership et Dion dans la même phrase sans rajouter le mot manque au début.

http://www.liberal.ca/video_f.aspx?channel=3

jeudi 25 septembre 2008

Pourquoi je ne suis plus liberal

Voici donc mon premier message et je pense que je me dois de commencer par "Pourquoi je ne suis plus libéral". Pour beaucoup, cela va de soit mais une explication est nécessaire quand même.

J'ai été libéral depuis Jean Chretien, homme que je respecte au plus haut point. Donc le scandale des commandites n'est pas le point central de mon changement d'orientation. Ce n'est pas non plus la façon peu respectueuse dont Paul Martin a décidé de le remplacer. Oui j'ai été pour John Manley dans cette course au leadership mais je suis resté libéral quand même avec l'arrivé de Martin. Être libéral, c'était dans mon sang.

J'ai même été délégué pour Ignatieff lors de la dernière course au leadership, en me disant qu'il serait un très bon chef pour le Canada et pour le Québec contre les conservateurs de droite et la gauche NPD.

Et je me rappelle encore le moment où Gerard Kennedy que j'aimais beaucoup décide de donner son appuie a Stéphane Dion. Ce fut une grande déception mais je gardais espoir, même après que Bob est refusé de donner son appui a un candidat. Je me suis dit que les gens comprendraient que Dion n'a pas d'ami au Québec, qu'il ne pourra jamais gagner ici. J'étais sur jusqu'au moment où un membre de l'organisation m'a expliqué que Dion avait gagné. Je n'en croyais pas mes yeux, comment un parti peut accepter un candidat si détesté dans sa propre province.

J'ai compris que ces gens ont appuyés Dion pour qu'il perde et que le prochain chef viennent de l'Ontario et non du Québec. Mais comment avoir si peu de conviction. C'est a ce moment que j'ai réalisé que le parti libéral était un parti qui ne voulait que le pouvoir autant que beaucoup de ces membres ne sont pas là que pour le pouvoir. L'avenir du Québec et du Canada passe en deuxième.

C'est là que je me suis ouvert a ce que les autres partis proposaient aussi et que je me suis rendu compte que j'en avais fini pour le moment avec ce parti opportuniste.